Comme promis, voici la suite des films qui ont fait leur entrée aux cinémas hier. Et tout comme la première partie, il y en aura pour tous les goûts 🍿

Au programme, du rire, de la sensualité et de la culture :

« L’Heureuse élue » – Comédie

C’est parti pour rigoler un bon coup, avec cette nouvelle comédie, portée par l’humoriste Camille Lellouche. Nature peinture, comme on dit, elle fera beaucoup de bruit, dans la petite famille huppée mais, finalement, elle risque bien de lui faire le plus grand bien !

« Pour soutirer de l’argent à ses parents, Benoît demande à une amie de se faire passer pour sa future femme lors d’un séjour en famille au Maroc. Mais lorsque cette dernière se désiste le jour du départ, il n’a pas d’autre choix que de proposer le rôle de sa fausse fiancée… à Fiona, son chauffeur Uber ! La jeune femme, au tempérament impulsif et sans filtre, détonne dans la famille bourgeoise de Benoît. Entre le franc parler et les gaffes à répétition de Fiona, Benoît va avoir du mal à convaincre ses parents qu’il a trouvé la perle rare… »

« Emmanuelle » – Drame

Le plaisir sera clairement central dans cette nouveauté cinématographique. Prépare-toi à explorer toute la sensualité et le désir, à travers le personnage de Noémie Merlant, qui succombera à de nombreuses tentations !

« Emmanuelle, femme d’affaires, s’efforce de retrouver son désir perdu. À Hong Kong, elle multiplie les rencontres et fait la connaissance du mystérieux Kei, qui ne cesse de se dérober. »

« Dahomey » – Documentaire

Une nouvelle facette de la mobilité des nations s’ouvre à nous avec cette nouveauté. Cette fois-ci, à travers la culture et les œuvres artistiques qui ont été arrachées du pays dans lequel elles ont été créées. Un voyage au cœur de l’art, mais également du pouvoir, puisqu’il semblerait que sous cet apparent intérêt culturel, se cache un but bien plus politique !

« Novembre 2021, vingt-six trésors royaux du Dahomey s’apprêtent à quitter Paris pour être rapatriés vers leur terre d’origine, devenue le Bénin. Avec plusieurs milliers d’autres, ces œuvres furent pillées lors de l’invasion des troupes coloniales françaises en 1892. Mais comment vivre le retour de ces ancêtres dans un pays qui a dû se construire et composer avec leur absence ? Tandis que l’âme des œuvres se libère, le débat fait rage parmi les étudiants de l’université d’Abomey Calavi. »