De prime abord, ça nous fait sourire. Mais il paraîtrait que se faire des câlins à soi-même nous rendrait heureux.

On a besoin de personne pour être heureux.se quand on peut se faire des auto-câlins. Cette méthode consiste à se prendre dans ses propres bras. En plus, en temps de pandémie, c’est encore mieux de le faire seul.e. Vous ne voyez pas comment ? On vous montre :

Je vous vois entrain d’essayer de le faire. Mais pourquoi cela nous ferait-il du bien ?

Le terme « auto-câlin » vient du mot anglais « self-hugging » qui veut dire, littéralement, « câlin de soi ». Se faire des câlins à soi-même a longtemps été perçu comme quelque chose de farfelu, mais les temps changent. Et cette pratique commence à fédérer de plus en plus de personne. S’auto-câliner permettrait de se réconforter, de s’encourager ou encore, de mieux gérer ses émotions.

C’est également un bon moyen de se recentrer sur soi-même et de se reconnecter à soi. Avoir une relation tendre avec nous-même nous permet d’envisager sereinement son rapport avec autrui.

Il y a donc des effets positifs à s’auto-câliner

Plus on s’aime, plus on est disposé à donner de l’amour aux autres. C’est pourquoi prendre soin de soi et de se donner de l’amour en s’auto-câlinant a de réels effets sur le cerveau et nous permet d’être plus épanoui.e.

Durant ce moment, notre cerveau libère de l’ocytocine, l’hormone de l’amour, c’est donc une hormone d’apaisement qui réduit le stress et la pression. Et avec l’année que nous venons de vivre, c’est parfait.

Différentes façons existent pour se faire des câlins

Passer son bras gauche sous son aisselle droite et vice-versa est la méthode la plus connue mais il en existe d’autres. Vous pouvez également vous caresser le bras ou la main pour permettre une connexion avec vous-même. Vous pouvez également vous féliciter en vous mettant une petite tape sur l’épaule, pas trop fort, bien évidemment !

N’oubliez pas le proverbe « on n’est jamais mieux servi que par soi-même » ! La preuve que c’est vrai 😉