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S’informer et bien s’informer, ce n’est pas toujours facile


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S’informer et bien s’informer, ce n’est pas toujours facile

S’informer et bien s’informer, ce n’est pas toujours facile

Beaucoup de fausses informations ont circulé concernant le coronavirus depuis de nombreux mois maintenant. Comment avez-vous géré cet afflux de nouvelles ? Certains informations étaient carrément inventées, bancales, incomplètes ou justes, mais étonnantes. Les jeunes s’informent principalement via les réseaux sociaux où il y eu un afflux de sites troubles, voir même complotistes.

Alors comment savoir ce qui est vrai ou non ? Vous avez été nombreux à réagir sur ce sujet hier soir dans la Story.

Mehdi, un journaliste de 27 ans, a voulu partager son témoignage avec nous. « Étant confiné chez vous, l’un des seuls moyens de s’informer c’était sur les réseaux sociaux. Et j’ai vu beaucoup de théories du complots apparaître. Pour moi ce sont les personnes un peu âgées qui peuvent être vite influençables lorsqu’elles voient de fausses informations, car elles n’ont pas forcément le réflexe d’aller vérifier la source ailleurs, car elles ne maîtrisent pas très bien internet. » Mais alors comment sortir une information correctement ? « Les réseaux sociaux nous obligent à travailler de plus en plus vite. Mais il faut avoir le temps de regrouper les sources et ce n’est plus vraiment le cas maintenant. »

« À l’heure des réseaux sociaux, les gens ont moins confiance en les journalistes » conclut Mehdi.

À l’opposé, Antoine 21 ans, ne s’informe pas du tout sur les réseaux sociaux, et préfère lire la presse écrite, qu’il estime plus sûr : « sur les réseaux sociaux ça devenait trop anxiogène et j’avais besoin de me faire ma propre opinion sur ce qui était dit dans la presse écrite. »

Raphaël lui lit « plusieurs médias et je cherche la ligne commune et j’écarte les points divergents. »

Pour beaucoup, les informations sont devenues anxiogènes, alors certains ne les suivent plus et regardent uniquement les restrictions !

Céline essaye de ne plus s’informer : « je préfère ne plus lire ou écouter ces informations et attendre que les plus importantes d’entres elles viennent à moi. C’est mon moyen pour être certaine qu’elles soient vraies. »

Si vous souhaitez réagir sur ce sujet, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire. Et on vous donne rendez-vous ce soir pour un nouveau sujet de 19h à 19h30 sur One FM.

 

 

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